Si nous faisons 2 pleins d’essence et les courses, nos factures mensuelles ont augmenté de 120 euros. Et nos salaires ? [Lire la suite]
Le gouvernement ne répond aux urgences sociales que par des mesurettes inefficaces à l’image de la loi sur le pouvoir d’achat.
Dans le même temps les multinationales profitent d’aides publiques, sans aucun contrôle, ni contrepartie. Il s’agit de 160 milliards d’euros par an. Le premier poste budgétaire de notre pays.
Un exemple en Savoie : selon la Cour des Comptes, les grosses stations de ski ont profité de dizaines de millions d’euros d’argent public. Les mêmes stations qui à présent, refusent de revaloriser les salaires.
Les salariés de l’Énergie, les cheminots, les fonctionnaires, ceux du transport urbain de Chambéry, de Bollhoff, de Routin, de TRIMET, d’Ugitech… et bien d’autres nous montrent le chemin :
Partout où elles se construisent, les luttes paient !
Dans le prolongement des mobilisations des 29 septembre et 18 octobre, amplifions les luttes pour imposer des augmentations générales, des pensions, des minimas sociaux et des salaires bruts.
Ces augmentations sont synonymes de cotisation sociales supplémentaires pour notre Sécurité Sociale.
Envoyons un signal fort contre la retraite à 65 ans de Macron et ses attaques contre les privés d’emploi.
Soyons nombreux le jeudi 10 novembre en grève et en manifestation.
Chambéry : 14h00 – Place Caffe (Préfecture)
Albertville : 10h00 – Sous-Préfecture
Saint Jean de Maurienne : 18h00 – Place Théâtre
La Cgt revendique : 15 euros par heure travaillée, minimum ; 32 heures de travail par semaine et 60 ans pour l’âge de départ à la retraite à taux plein.